ENTRE LOS MUROS DEL OLVIDO, Ramón García Martínez, esperanza y superación tras sobrevivir a los 186 escalones del campo de mauthausen (Juan de Sola)
Liste (suite) des bénéficiaires de citations accordées par les autorités de l'armée de terre homologuées après revision et donnant droit au port de la nouvelle Croix de guerre 1939-1940 (pagination spéciale, C. G., 973 à 964).
CARDONNE (Joseph), lieutenant.
"jeune officier plein d’allant et d’énergie toujours volontaire pour les missions dures et périlleuses a été blessé le 25 mai 1940 au moment où il faisait mettre à l’abri des hommes soumis à un violent bombardement d’obus de gros calibres"
CASTELLA (Antoine), 2e classe.
SZOBAS (Casimir), 2e classe.
COLLIAS, 2e classe.
VENCKEVICIUS, caporal.
GIRARD, lieutenant.
HERBUNOT, caporal-chef.
FERNANDEZ, 2e classe.
PRESSAT (Claude), médecin lieutenant.
"Jeune médecin d'un courage et d'un dévouement au-dessus de tout éloge, chef estimé et adoré de ses hommes. Au cours des combats des 25, 26 et 27 mai 1940 et de ceux des 19 et 20 juin 1940, a prodigué des soins et assuré de l'évacuation de nombreux blessés dans des circonstances particulièrement périlleuses, permettant ainsi de sauver de nombreuses vies humaine"
ZODOROJNY, 2e classe.
GALBRUNNER (Christian), caporal-chef.
DEVAUX (Henri), médecin sous-lieutenant.
VIRENQUE (Michel), lieutenant.
"officier de renseignement du régiment s'est dépensé sans compter pendant la période longue et pénible de la retraite du 10 au 23/06/1940. Au combat de Saint Germain sur Meuse du 18 juin a dirigé personnellement l'observation du régiment posté dans le clocher s'y est maintenu malgré un bombardement sévère. A continué sa mission dans les ruines après la chute du clocher et la mise hors de combat d'une partie de son personnel. Au cours de la retraite a reçu à plusieurs reprises la mission de garder, défendre et détruire s'il le fallait le drapeau du régiment. Assistait son chef de corps au soir du 18 juin lorsque le régiment étant presqu'encerclé, le drapeau de la Légion fut brûlé au plus fort du combat"
VIRENQUE (Michel), lieutenant.
"officier de renseignement du régiment s'est dépensé sans compter au cours du combat du 27 mai 1940. Par son calme et son stoïcisme sous les bombardements a permis la diffusion et la transmission sans à-coups d'ordres importants. A exécuté personnellement plusieurs liaisons difficiles sous le feu"
WURSTEN (Marcel), légionnaire.
COSTA (Sauveur), capitaine.
"Commandant de compagnie aussi remarquable par son splendide moral que par son calme absolu sous le feu.
Le 27 mai 1940, au bois d’INOR, restant seul valide du personnel de commandement, a, sous un bombardement violent, transporté lui-même au poste de secours régimentaire son ordonnance grièvement blessé donnant ainsi à ses légionnaires la preuve du plus noble courage et du plus pur dévouement.
Le 17 juin 1940, aux lisières nord de la forêt de SAINT-VOID a arrêté une attaque de blindés, détruit une voiture et fait des prisonniers.
Le 18 juin à SAINT-GERMAIN s/MEUSE, a, sous le bombardement et la mitraille, maintenu sa position pendant 24 heures, assurant lui-même au plus fort de la bataille livrée par un ennemi nombreux et agressif le ravitaillement par chenillette de sa ligne de feu, assurant la liaison avec les unités voisines et renseignant exactement son chef de corps sur les fluctuations du combat".
KOHLER (Roger), caporal-chef
"très belle conduite au feu lors des combats du 18 juin 1940"
MANUE (Georges), sergent-chef.
"Agent de liaison merveilleux de courage et de froide énergie. Toujours volontaire pour assurer les missions les plus périlleuses. Le 27.5.1940, pris personnellement des commandants isolés qui n’avaient pu rejoindre leur unité et a bouché de sa propre initiative un trou qui se produisait vers le régiment voisin." JO 31/10/1942 médaille militaire "sergent chef au 11e rég. étranger d'infanterie: ancien sous-officier de la légion déjà cité à l'ordre de l'armée sur les théâtres d'opérations extérieurs. EVDG volontaire pour la durée de la guerre, a été un magnifique exemple de bravoure, de sang-froid et de mépris du danger. Constamment sur la brèche, a fait l'admiration de tous. Blessé le 18 juin 1940 à Saint Germain sur Meuse en exécutant une difficile mission de liaison avec un bataillon engagé, a refusé de se laisser évacuer et a tenu, malgré ses souffrances, à rester à son poste de combat."
CRAVERO (Johachim), 1re classe.
Ordre 520/C du commandant en chef, rayer :
« Riefstahl (Alfred), sergent-chef », annulé par 766/D.