ENTRE LOS MUROS DEL OLVIDO, Ramón García Martínez, esperanza y superación tras sobrevivir a los 186 escalones del campo de mauthausen (Juan de Sola)
MARTIN (alias NAVARRO) (Innocencio), sergent-chef.
BROCHET (Maurice), capitaine.
"capitaine, type de l'officier de légion, d'une bravoure et d'un sang froid exceptionnels. Entraîneur d'hommes remarquable. Le 27 mai 1940, son unité étant attaquée par des forces très supérieures aux siennes, a pris personnellement la direction des contre attaques et chaque fois a repoussé l'ennemi. Blessé au début de la journée, n'a consenti à se laisser évacuer que le soir, après avoir rétabli l'intégralité de notre ligne de défense"
PIQUART (Jean), lieutenant.
"Très belle conduite au feu le 24 mai, s’est distingué à la tête du groupe de mortier du bataillon en conduisant sous un feu très meurtrier, de minems lourds et de 105, différents réglages essentiels. Le 27 mai s’est engagé avec un détachement de faibles effectifs contre des éléments allemands très supérieurs en armement et en effectifs. A obtenu, malgré la disproportion des forces et dans des actions venues jusqu’au corps à corps le replis d’éléments allemands qui commandaient l’itinéraire d’acheminement des renforts et compromettaient l’issue de la contre attaque. A été blessé en se portant en avant avec une patrouille de reconnaissance dans le but de définir le contour exact de l’avance allemande."
FRIEDEMANN dit DE LOS, adjudant-chef.
REYES (Ernest).
CACHAT, sous-lieutenant.
D’HAUTEFEUILLE (Claude), lieutenant.
SIGMANN (Jacques), lieutenant.
GHEYSENS (Frédéric), lieutenant.
"Excellent Cdt de Cie qui a fait preuve en toutes circonstances de courage et de calme. Au cours de la période difficile du 28/5 au 22/6, a rempli avec sa compagnie toutes les missions qui lui ont été confiées, résistant aux attaques de l’ennemi, lui infligeant de lourdes pertes et lui faisant des prisonniers."
CHEVILLOTTE, lieutenant.
COLIN (Pierre), 2e classe.
FIGUIER (Rochard), caporal.
PIERRE, lieutenant.
"commandant de compagnie de premier ordre, du 28 mai au 22 juin 1940, au cours des replis successifs a su donner une magnifique impulsion à ses légionnaires et a résisté à toutes les attaques ennemies, en particulier au bois de Neudan le 27 mai 1940, devant Void le 17 juin, à Saint Germain, le 18 juin, à l'ouest de Blénod le 19 juin. Ne s'est replié que sur ordre et après avoir infligé des pertes sérieuses à l'ennemi"
JOLSWAY (André), sergent-chef.
MARCHANDISE (Albert), sergent.
"volontaire pour le groupe franc de son bataillon, s'est fait remarquer par son ardeur et son courage. A été blessé grièvement le 19-4-1940, au retour d'une reconnaissance dans les lignes ennemies au cours de laquelle il a fait preuve d'audace et d'énergie". Croix de guerre avec étoile d'argent
VAN DE WOESTYNE, 2e classe.
KOLOTA (Yvan), 2e classe.
PUCIK (Jean), sergent-chef.
SAURIER (André), sergent-chef.
"Chef de section de Légion, blessé le 22 mai 1940 par un éclat d’obus est resté à son poste sur sa demande. A repoussé, deux nuits de suite, des éléments mordants venus au contact; a dû être évacué sur ordre deux jours après sa blessure, après avoir donné un bel exemple d’abnégation, de cran, de devoir, de mépris du danger".
KREUTEL (Erick), caporal.
LOONES (Adolphe), 2e classe.
SZABADI (Louis), 2e classe.
GAULTIER (Louis), chef de bataillon.
SIGMANN (Jacques), lieutenant.
CHEVILLOTTE, lieutenant.
FORGET, lieutenant.
HAMMELING (Eugène), adjudant.
TEXIDO (Servando), 2e classe.
SCHMIDT (Émile), 2e classe.
MARGUET (Louis), capitaine.
"Capitaine adjudant-major, a déployé la plus intelligente activité. S'est dépensé sans compter au cours du combat du 27 mai 1940 en organisant la ligne de section d'où sont parties les contre-attaques et où il a opposé une résistance énergique à un ennemi mordant. A fait preuve de vaillance et du plus parfait courage au cours des combats en retraite du 10 au 22 juin. Prisonnier le 23 juin 1940, s'est évadé le jour même parcourant plus de 400 km dans une zone occupée par l'ennemi."
CLEMENT (Pierre), capitaine.
ROUILLON, capitaine.
"Commandant un Bataillon d’un Régiment d’Étrangers, a su se montrer splendide de calme et de sang-froid au cours de toute la campagne. Attaqué le 27 mai 1940 par des forces quatre fois supérieures en nombre, n’a pas cédé un pouce de terrain. Le 18 juin 1940 a prouvé au cours des combats ses hautes qualités guerrières, stimulant sans cesse ses hommes par sa présence aux endroits les plus exposés, au cœur du danger, leur communiquant son ardeur et sa foi, tandis qu’il les enthousiasmait par son élégante crânerie. "
BARON, capitaine.
A au cours d'une série de combats en retraite du 10 au 22 Juin 1940, fait preuve de courage, de vaillance, d'honneur et de fierté, conformément aux traditions de la Légion. Croix de guerre avec étoile de Bronze.
"fait prisonnier le 23.6.40 au sud de Toul, à la suite d'une convention de reddition, incarcéré à Nancy, s'est évadé le 17.7.1940 avec un officier de son régiment et a réussi à rejoindre le dépôt de la Légion: a fait preuve, en ces circonstances, de courage et d'énergie". Croix de guerre avec étoile de bronze
KEFFER (Auguste), 2e classe.
BALCARCEL (Candido), 2e classe.
VERLEGHEN (Jacques), sergent.
CZEPIELEWSKI (Oszer), 2e classe.
PIERRE (Prosper), 2e classe, matricule 70259.
BIZZINI, sergent.
DECAILLET (Joseph), caporal-chef.
LAMOLINARIO (Marcel), caporal.
AURRECOECHEA (Féliscisimo), 2e classe.
NIEUWENHUIZEN (Cornelis), 2e classe.
FABRE (Philippe), 2e classe.
FERNANDEZ (Marcelino), 2e classe.
PRETEL (Léon), 2e classe.
MEULEMANS (Marcel), 2e classe.
SIMON, 2e classe.
ELLONAGA (ELORRIAGA ZABALA Carmelo), 2e classe.
CALLASTEGIN, 2e classe.
MONDRAKOFF (Eugène), 2e classe.
PIRON (Louis), 2e classe.
HENSENS (Albert), 2e classe.
BERTHELOT(Georges), sergent.
SOSA (Miguel), 2e classe.
DESMET (Alphonse), 2e classe.
ANTOINE (Jean), 2e classe.
OSTROWSKI (Jadens), 2e classe.
KORNBLAU (Hersz), 2e classe.
BEHL, caporal-chef.
BADIER (Nachem) (ADLER Nachem), 2e classe.
GUEGUEN, 2e classe.
VANNIER, 2e classe.
GARMACHOFF (Dimitry), sergent.
WOUTERS, sergent-chef.
TIMMERMANN, sergent.
ARNONE (Roger), caporal-chef.
RIBIET (Édouard), caporal.
BUHRER (Émile), 2e classe.
MOLERO (Pedro), 2e classe.
MARTIN (Marcel), 2e classe.
IVANOVITICH (François), 2e classe.
MATTEI (Mario), 2e classe.
BOURDIC, 2e classe.
THOMAS, 2e classe.
COLLARDELLE, 2e classe.
"Mitrailleur courageux du 20 mai au 22 juin 40. A toujours assuré le service de sa piècesous le feu le plus violent avec un complet mépris du danger. Le 23 juin, tout son régiment étant fait prisonnier près de Toul, s’est évadé et à force de volonté et d’énergie a réussi à franchir les 40 km de territoire occupé par l’ennemi et a rejoint le dépôt de la Légion". Croix de guerre 1939-1940 avec Étoile de Bronze
FRANCZIA (Joseph), 2e classe.
"Légionnaire qui s’est à maintes reprises signalé par son allant et son mépris du danger. A été blessé à son poste de tireur au FM le 27 mai 1940 au bois de Neudant, au cours d’un violent bombardement de préparation d’attaque". Le présent ordre comporte l’attribution de la Croix de guerre 1939-1940 avec étoile de bronze
ZORITCH (Milan), 2e classe.
TOMCZAK (François), 2e classe.
REVI (Lucien), 2e classe.
BALDACHOFF (Alexandre), 2e classe.
SALVADOR (Louis), 2e classe.
PILAREK (Jean), 2e classe.
ALMAGRA (Fernando), 2e classe.
KAUFFMANN (Jean), 2e classe.
CLERC, caporal-chef.
BREZINSKI (Israël), 2e classe.
SCHALL (Raymond), 2e classe.
ALLARD (Louis), 2e classe.
SALA (Joaquin), 2e classe.
DECOT (Paul), 2e classe.
BRABANCON (Henri), 2e classe.
BENITO (Juan), 2e classe.
SICLOVAN (Georges), 2e classe.
RULINSKI (Bruno), 2e classe.
PARISET (Georges), 2e classe.
MARTIN (Francisco), 2e classe.
HUTTER, sergent.
GOTLAND (Élie), 2e classe.
LE NOIR (Séraphin), 2e classe.
RONDA (Maria), 2e classe.
VILLAVERDE (Manuel), 2e classe.
IGLESIAS (Raphaël), 2e classe.
TUCH (Joseph), 2e classe.
SERNA (Mariano), 2e classe.
IRAL (Martinez), 2e classe.
MOMPERT (Jean), caporal.
JACOB, sergent.
LAMBERT (Georges), 2e classe, matricule 74552.
LADOZ (Jean), médecin-capitaine.
"médecin capitaine remarquable de dévouement, de bravoure et de calme sous le feu. Du 23 au 28 mai 1940, sous les plus Violents bombardements d'obus de gros calibres, a toujours été sur la brèche et n'a-pas cessé un seul instant de procéder aux soins et à l'évacuation des blessés, allant les relever lui-même sous la mitraille. A, par son exemple, galvanisé toute une équipe de brancardiers et d'infirmiers qui a rendu des services remarquables."
ROUX (Robert), lieutenant.
"lieutenant au 11e rég. étranger d'infanterie: officier d'un allant et d'une bravoure extraordinaires s'alliant à un calme et un esprit de décision faisant l'admiration de tous. Le 18 juin 1940, chargé de recueillir les unités de deux bataillons du régiment engagés en avant de lui, s'est trouvé, avec sa compagnie, complètement encerclé par l'ennemi. Faisant agir ses armes automatiques, les mitrailleuses et le canon de 25 mis à sa disposition, a causé à l'adversaire des pertes sévères en hommes et en matériel. Blessé grièvement, a continué à montrer l'exemple à ses légionnaires en restant debout pendant que sa compagnie chargeait pour se dégager."
SAUTOUR (Henri), sous-lieutenant.
MAISER (Antoine), 2e classe. rectifié pour MAISSA Antoine
KAKHOWSKI, lieutenant.
" A participé avec son régiment aux combats au Nord de l'ARGONNE, du 21 mai au 12 juin 1940, puis au repli du 12 au 17 juin jusque dans la région de VOID. A été blessé et il est fait prisonnier. Non encore guéri, s'est évadé de l'hôpital et a réussi à rejoindre la zone libre." Croix de guerre avec étoile d'argent. signé le 02/09/1940
GOLAZ, 2e classe, matricule 75851.
"Légionnaire faisant preuve de calme et d'esprit de décision. Excellente attitude au feu, le 19 avril, placé comme sentinelle en terrain découvert, a été attaqué par une patrouille ennemie à coups de grenades et de mitraillette. Sommé de se rendre a riposté à coups de fusil et a mis en fuite ses agresseurs"
RZEKIECKI dit D’ALEGRON, chef de bataillon.
CARRAZ (Louis), pharmacien-lieutenant.
ROUILLON (Paul), capitaine.
DE ROUSIERS (Jacques), lieutenant.
"lieutenant officier de légion qui a été pour tous un magnifique exemple de vertus militaires. Chargé des transmissions de son régiment, s'était depuis le début des hostilités consacré corps et âme à ces fonctions, payant constamment de sa personne, triomphant de toutes les difficultés matérielles avec un courage tranquille qui faisait l'admiration de ses chefs et de ses légionnaires: Est tombé glorieusement en accomplissant sa mission, le 18 juin 1940, devant Saint Germain sur Meuse. A été cité."
BEDRICH-BEDRICH, caporal.
"Gradé d'une rare intrépidité. Le 18 juin 1940, sa compagnie étant installée entre Ourches et Saint Germain sur Meuse et étant soumise à de violents tirs ennemis qui lui causaient de lourdes pertes a, par deux fois, assuré la liaison avec le poste de commandement du bataillon. Y apprenant au cours de sa deuxième liaison qu'un ordre important était à donner à son unité, que deux agents de transmission venaient d'être tués en tentant de le porter et qu'un troisième avait renoncé à essayer de passer en raison de l'intensité du feu, s'est offert pour assurer lui même cette nouvelle liaison et a réussi dans sa tentative, sauvant ainsi les survivants de son unité."
BAUMONT, lieutenant.
TIBER (Derencinobic), 2e classe, matricule 69162.
ROSSY (Édouard), 2e classe.
VOLLNER, 2e classe.
SANDRON, sergent.
MORES, sergent.
TAPP, 2e classe.
BLANCO, 2e classe, matricule 7572.
STECKLER, 2e classe, matricule 69704.
MERCIER (Robert), caporal.
STEIN, sergent.
LEVEQUE, sergent.
BINOCHE, lieutenant.
FROLIK, sergent-chef.
AMANN (Robert), 2e classe.
CARRICONDO, 2e classe, matricule 74377.
ROJO (Germain), 2e classe, matricule 93966.
HOFFMANN, caporal.
"Le 18 juin 1940, à l’affaire de St.-Germain sur Meuse, a fait preuve de belles qualités de courage et de sang-froid en assurant son service sous un violent bombardement. S’était déjà fait remarquer par sa belle tenue au feu au combat du bois d’Inor le 27 mai 1940". Le présent ordre comporte l’attribution de la Croix de guerre 1939-1940 avec Étoile de Bronze.
SADOWSKI, 2e classe, matricule 65125.
GASPAR, 2e classe.
WIZGNIOWSKI, caporal, matricule 69782.
BILLARD, caporal.
GOMEZ (Maxim), 2e classe, matricule 76667.
VAN DYCK (Joseph), 2e classe, matricule 70428.
ARBARETIER, 2e classe.
"Jeune légionnaire, a assuré avec courage et sang-froid ses fonctions de chargeur et a assuré le ravitaillement de son groupe sous de violents bombardements. A été blessé le 25-5-1940 au bois d’Inor, à son poste de combat".
BUDNIAK, 2e classe, matricule 6771
MAGURA, caporal, matricule 89347
ROMANOVITCH, adjudant.
LEVEQUE, sergent.
DUBOIS, lieutenant.
GUERLEDAN, sergent-chef.
BERTOT, sous-lieutenant.
BLOT, lieutenant.
"Chef de section qui s’est toujours fait remarquer par son sang-froid et une magnifique ardeur au feu déjà blessé en septembre, s’est imposé définitivement à la Légion en mai 1940. Se dépensant sans compter à l’organisation sous bois d’un point d’appui particulièrement exposé à courte distance de l’ennemi qui le harcelait sans trêve ayant pris le commandement de la compagnie a opposé à la tête de cette unité une magnifique résistance à l’attaque allemande du 27 mai 1940. A fait preuve d’un esprit de décision remarquable et d’un mépris absolu du danger. Galvanisant par son exemple tous les légionnaires qui n’ont pas cédé un pouce de terrain. A été grièvement blessé au cours de l’action."
LEVACHER, lieutenant.
"lieutenant à la 11e compagnie du 11e rég. étranger d'infanterie : officier de légion adoré de ses hommes et d'une magnifique ardeur au feu. Calme et intrépide. A partir du 21 mai 1940, a occupé et organisé sous bois un point d'appui en flèche à courte, distance de l'ennemi, s'y maintenant avec un absolu mépris du danger sous les bombardements les plus intenses. Attaqué très violemment, le 27 mai 1940, a maintenu toutes ses positions et a fait l'admiration de ses chefs. Très grièvement blessé, le 8 juin 1940, alors qu'il galvanisait la ténacité de ses légionnaires soumis à une recrudescence sévère du bombardement. A dû subir une amputation"
DE CLOSMADEUC, capitaine.
"Officier d'une bravoure et d'une énergie exceptionnelles. Le 27 mai 1940, à la suite d'une nouvelle attaque allemande sur le bois d'Inor, la liaison entre son bataillon et le bataillon voisin étant menacée, a pris le commandement d'une vingtaine de légionnaires de la section de commandement pour enrayer cette dangereuse progression. A été mortellement atteint alors qu'à la tête de ses hommes il se lançait à la contre attaque. A été cité."
MANCHILINE, caporal.
MAUER, 2e classe.
SADOSKI, 2e classe.
SKUTEK (Rodolphe), 2e classe.
" Soldat courageux lors de la contre-attaque d’un bois aux environs de Montmédy, ayant plus de la moitié de ses compagnons hors de combat, a continué vaillamment à tirer et à se porter en avant jusqu’à ce qu’il soit blessé lui-même. " Cette citation lui vaut la Croix de guerre 1939–1940 avec étoile d’argent, récompensant un acte de bravoure accompli au feu.
JO 25/08/1941:
Rectificatif à la 1re liste parue au Journal officiel du 26 juin 1941.
Ordre n° 353/C. — À l’ordre de l’armée.
Rayer : Levacher, lieutenant, citation annulée par l’ordre n° 435/D (double emploi).
Rayer : Guerledan (Louis), sergent-chef, citation annulée par l’ordre n° 417/D (double emploi).
JO 02/01/1942:
Rectificatif au Journal officiel du 26-6-41.
Ordre n° 353/C, rayer : « Dubois (Joseph) » (double emploi avec ordre 530/D).
Ordre n° 14 du 5-6-40 du 18e C.A., rayer : « Rzekiecki dit d’Alegron (Henri), chef de bataillon » (double emploi 685/C).
Ordre n° 317/C, rayer : « Brochet, capitaine » (double emploi avec ordre 228/D) ;
au lieu de : « Piquart (Jean), lieutenant », lire : « Picquart (Jean), lieutenant ».
Ordre n° 323/C, au lieu de : « Cheysens (Frédéric) », lire : « Gheysens (Frédéric) » ;
au lieu de : « Kolotan (Yvan) », lire : « Kolotan (Yvan) » ;
au lieu de : « Hameling (Eugène) », lire : « Hammeling (Eugène) » ;
au lieu de : « Badler (Nachem) », lire : « Adler (Nochem) » ;
au lieu de : « Gueguem », lire : « Gueguen » ;
au lieu de : « Ribiet », lire : « Ribiet » ;
au lieu de : « Pilarex (Jean) », lire : « Pilarek (Jean) » ;
au lieu de : « Iral (Martinez) », lire : « Izal (Martinez) ».
Ordre n° 66 de la 2e armée, au lieu de : « Maiser (Antoine) », lire : « Maissa (Antoine) ».
Ordre n° 461/C, au lieu de : « Wizgniowski, caporal », lire : « Wizgniowski » ;
rayer : « Bedrich, caporal » (double emploi avec ordre 628/D) ;
« Van Dyck, 2e classe » (double emploi avec ordre 354/C).
Ordre n° 397/C, au lieu de : « Maver, 2e classe », lire : « Mauer, 2e classe ».
sources;
Annexe du Journal officiel année 1941
décision du 1er REI - collection Jean Paul Leray